Les plus grandes équipes partent à l'assaut de la Coupe du Monde des Clubs

Quand il n'y en a plus, il y en a encore. Après la fin des championnats, la finale de la Ligue des Champions et les éliminatoires de la Coupe du Monde avec le match de la Belgique en Macédoine , la saison 2024-2025 de football s'étire encore, jusqu'à n'en plus finir.

Pour la 21e édition de la Coupe du Monde des Clubs, la FIFA a décidé d'innover en conviant 32 équipes, au lieu de 7 formations auparavant. A l'instar du Mondial, 32 clubs se retrouvent donc dans un pays, en l'occurence ici les Etats-Unis, durant un mois. Ils sont répartis en 8 groupes de 4.

12 équipes européennes, 6 d'Amérique du Sud, 4 africaines, 4 asiatiques, 4 nord-américaines et une d'Océanie vont tenter de soulever le trophée à New York le 13 juillet prochain. Zoom sur les affiches de la première journée pour que vous puissiez parier au mieux sur GoldenVegas Sport.

PSG - Atletico, un choc de titan avec un Diable Rouge

Les Parisiens ont réalisé le rêve de leur vie. Ils ont soulevé la Champions League après plus d'une décennie de conquête. "Je pense que quand nous sommes arrivés, personne ne croyait qu'on pouvait aller aussi loin. On a eu des difficultés, on a souffert depuis 12 ans. Ce titre est pour nous, on le ramène à la maison, je suis trop content ! Je n'ai plus de forces, j'ai tout donné", s'extasie Marquinhos.

Le capitaine du champion d'Europe devra toutefois trouver encore un peu d'énergie pour que les Français figurent bien dans ce Mondial des Clubs. Et pour Luis Enrique, pas question pour ses joueurs de décompresser ou de prendre ce rendez-vous pour des vacances anticipées. "J'aborde chaque compétition avec le même objectif, à savoir nous mettre en position de la remporter. Dès lors, notre ambition lors de cette Coupe du monde des clubs doit être d’aller le plus loin possible. Notre seul objectif doit être d’aller au bout", prévient le technicien espagnol.

Il retrouvera pour son entrée en lice un club issu de son pays natal : l'Atletico Madrid. Les Colchoneros embarquent pour les Etats-Unis avec une bonne nouvelle. Antoine Griezmann a prolongé son contrat jusqu'en 2027 alors que tout le monde l'annonçait partant vers la MLS. En fin de contrat le 30 juin prochain, Axel Witsel figure également dans le groupe de Diego Simeone. Et quoi de mieux pour le Diable Rouge que de partir sur un succès d'envergure ?

Sans Inzaghi, comment l'Inter Milan va se relever ?

Deux semaines après avoir perdu la finale la moins serrée de la C1, L'Inter Milan doit replonger directement dans le grand bain face à Monterrey, des Mexicains largement à leur portée sur le papier.

"C'était une soirée où nous n'avons rien réussi à faire de ce que nous avions préparé. Maintenant, il faut se relever, comme il se doit. Nous avons fait une belle saison, même si nous n'avons pas remporté de titres. Il y a de l'amertume et une envie de repartir de zéro", constate Lautaro Martinez.

Ce sera indéniablement le cas. Simone Inzaghi, le coach, a remis sa démission afin de partir entraîner Al-Hilal qui lui a proposé 26 millions d'euros net par an. Avec une poule composée également d'Urawa (Japon) et de River Plate (Argentine), les Italiens peuvent tout de même rebondir. Avant de retrouver peut-être déjà Inzaghi lors de la suite de la compétition.

Kevin De Bruyne refuse sa dernière danse avec City

Eliminés dès les huitièmes de finale de la Ligue des Champions face au Real Madrid, les Citizens ont vécu un calvaire jusqu'au bout cette saison en terminant seulement troisièmes de Premier League. Les protégés de Guardiola ont également perdu en finale de FA Cup face à Crystal Palace.

Une année blanche qui passe mal du côté de Manchester City. Autant dire qu'ils joueront le coup à fond dans cette Coupe du Monde des Clubs. Le tirage au sort a été partiellement clément car ils affronteront la Juventus mais les deux autres adversaires, Wydad Casablanca et Al-Aïn, ne représentent pas des foudres de guerre.

Face aux Marocains, les Anglais voudront dérouler pour ne pas se faire de fausse peur. Ce sera sans Kevin De Bruyne. En fin de contrat le 30 juin, notre Diable Rouge ne souhaite prendre aucun risque contrairement à Witsel.

"Ça n'a pas de sens. D'une certaine façon, je dois prendre soin de moi-même parce que si je me blesse à la Coupe du monde des clubs, qu'est-ce que je vais faire ? Personne ne va s'occuper de moi", a-t-il justifié. Il n'y aura donc pas de dernière danse pour lui. Regrettable pour le football mais tellement compréhensible.

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